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Jesuis moi. Vous êtes vous. Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné, Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait. N’employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
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La mort n'est rien : je suis seulement passé, dans la pièce à côté. Je suis moi. Vous êtes vous. Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné. Parlez
Accueillirses émotions. Lorsque l'on perd un être cher, il est normal de ressentir beaucoup d’émotions : de la tristesse, de la culpabilité, de la peur, de la colère ou encore des regrets. "Il ne faut pas s’inquiéter de ces émotions, elles sont importantes, estime Josée Masson de Deuil-Jeunesse.
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Site De Rencontre Pour Relation Serieuse Gratuit. Dans l’ombre des pros sponsorisés, [Kris Pereira] est l’un des joueurs français les plus réguliers du circuit depuis 2010. Mais celui qu’on pourrait classer parmi les livetards, au fort caractère parfois décrié, a également un avis bien tranché sur de nombreux sujets touchant au poker actuel tout en gardant les pieds sur terre. Des World Series sur Playstation aux plus grosses tables de cash-game françaises, le récent finaliste du WPT Ile Maurice retrace son passionnant parcours. Tu es souvent référencé sur les tournois avec le prénom Christopher ou Christophe. Pourquoi souhaites-tu te faire appeler Kris ?Je suis d’origine portugaise, et en France le Christopher est vite devenu Kris. Il y a aussi des gens qui m’appellent Christophe, mais ça m’énerve car ce n’est pas non prénom. Je m’y suis fait, mais moi c’est Kris ou as-tu débarqué dans le poker ?A la base, je faisais du tennis à un très bon niveau, j’étais -4/6, le niveau juste avant l’élite. Je n’avais jamais joué à quoi que ce soit, j’avais une vie de sportif, je ne veillais pas toute la nuit, j’étais super actif. Un ami d’enfance, qui tenait un bar, m’a ramené dans les cartes. Il m’a amené au Cercle Wagram. Le temps de faire la route, il m’a expliqué un peu les règles. Etant un très mauvais perdant, ça c’est mal passé le premier soir, j’ai perdu 200 € de l’époque en ayant joué toute la nuit sur une NL 100. J’étais déjà très patient à l’époque, ce qui me caractérise toujours maintenant. Le lendemain, j’ai acheté un jeu de poker sur Playstation, je me suis enfermé quinze jours chez moi et j’ai appris à jouer. Je faisais les World Series sur console... Je jouais ensuite un peu en cercle, plutôt à Wagram j’ai eu un peu de mal à accrocher avec l’ACF. Je n’y vais que quand il y a des gros événements. Les cotisations des cercles, c’est du racket »Tu n’es donc pas de l’avis de plusieurs joueurs qui décrivent l’ACF comme l’un de leurs cercles préférés ?Je te parle franco, je ne suis pas pour le principe des cotisations, c’est du racket, alors que je joue gratuitement dans tous les casinos du monde. J’ai joué à Macao, aux Aussie Millions, je suis rentré en short et baskets et on ne demande pas un centime de cotisation. 150 € c’est trop. Je sais que la loi française oblige les cercles à la cotisation, mais bon…Tu sembles plutôt être un adepte du poker en live…Online, jai beaucoup de mal. C’est le même poker mais j’ai besoin de ressentir et voir les choses à table. Il y a des soirs où ce n’est pas terrible au casino de Bordeaux alors je reste a la maison avec ma femme et mon fils et je fais un petit tournoi, quand il y a des packages à gagner. Une saison sur le circuit c’est 100 ou € quand tu n’es pas sponsorisé…Tu t’es spécialisé dans les tournois depuis quelques années ?Je suis un joueur de cash-game, ça ne fait que trois ans que je fais des tournois. Aujourd’hui, j’ai une vie de famille et j’ai compris que le vrai poker se fait en tournoi. J’ai commencé les tournois vers 2009. Avant l’offre n’étais pas la même, maintenant il y a un tournoi dans chaque coin du pays. Il n’y a plus de grosses parties de cash-game comme avant, en NL 50/100 et 100/200 à l’époque des Thomas Bichon et Stéphane Albertini. Par rapport à mon volume de jeu, je m’ennuie. En France il n’y a plus de grosses parties. Quand tu as joué en 100/200 et que tu relances à 12 €, ca fait bizarre. Moi je faisais des grosses parties privées notamment au Maroc où j’ai monté une belle bankroll. Quand Wagram a fermé, j’étais déjà parti sur Bordeaux. Pour un grinder de live comme moi, il n’y avait plus rien à faire à Paris, étant donné qu’Haussmann et Wagram étaient fermés. Quant ils ont ouvert le casino de Mazagan au Maroc, j’ai fait trois mois là-bas où j’ai tout gagné, dont le tournoi inaugural du Mazagan Poker Million. C’était vraiment la folie là-bas, tout les joueurs de cash y allaient car c’était plus proche que le casino Es Saadi de Marrakech. Il y a eu du grand n’importe quoi et il fallait être là pour ramasser les morceaux. Comment as-tu appris à jouer ?C’est un jeu très compliqué, ce n’est pas comme au tennis. Si un inconnu rentre sur le court face à Nadal, il va se faire défoncer, alors qu’au poker un inconnu peut remporter les World Series. Il y a une grande part de chance. Je reviens sur Antoine Saout, qui normalement doit gagner le titre de champion du monde en 2009 on a bien vu comment il s’est fait nettoyer en deux coups. C’est frustrant mais c’est comme ça, on aime ou on déteste ce jeu. On se rend compte de la progression du jeu, il faut actualiser notre jeu, il y a des mains qui ne se jouent plus comme avant. Il y a trois ans, c’était la grande mode du As-Roi, nous on se foutait de la gueule des jeunes qui faisaient tapis dès qu’ils voyaient As-Roi, puis il y a eu la polémique avec Ilan Boujenah. Sinon quand il y a Fabrice Soulier en finale de l’EPT Campione, je regarde. Mais les vidéos, à part les World Series… Je préfère passer la nuit sur des vidéos de boxe et de free-fight. On sait que de nombreux anciens sportifs, comme David Benyamine, Patrick Antonius, Jean-Philippe Rohr, Teddy Sheringham ou encore Vikash Dhorasoo ont ensuite réussi dans le poker. Est-ce que le fait d’avoir pratiqué un sport à haut niveau te sert aux tables ?Ça m’a forgé un gros mental. A l'Ile Maurice par exemple, il me restait deux blinds et demi et je me suis accroché. Je retrouve dans le poker cet esprit de compétition qu’il y avait dans le tennis. Le poker, c’est la jungle, la guerre. Qu’on soit 20 où qu’on soit 1000, il faut gagner. Si tu prends la pub Winamax, on y voit des armes, non ? C’est le résumé du poker, ils ont tout compris. Quand je rentre dans un EPT avec 800 joueurs, c’est un film, on voit les têtes qui se coupent. Au début tout le monde arrive en forme et à la fin il y a beaucoup de blessés. Aujourd’hui, te considères-tu comme un joueur professionnel ?Je ne fais que ça depuis trois ans. Pour moi, un pro c’est un joueur sponsorisé. Je me considère comme un semi-pro. Mais en 4-5 ans au poker j’ai pris beaucoup plus d’argent que durant toute ma carrière dans le tennis. Ils sont peut-être dix en France à vivre du tennis, les autres vivotent. Je ne regrette pas de m’être lancé dans le poker. Je suis resté un an à Los Angeles, j’ai eu mon bac et mes parents m’ont autorisé à faire ce que je voulais. As-tu de bons amis sur le circuit ?J’étais régulier du cercle Wagram avec Jean-Paul Pasqulini, celui que j’appelle un peu mon parrain, car c’est avec lui que j’ai commencé sur le circuit. J’ai bien accroché avec Guillaume Darcourt aussi, j’ai sympathisé avec Antoine Saout, sinon le reste des joueurs, les semis-pros un peu comme moi, c’est bonjour-bonjour. C’est un jeu où tu ne peux pas vraiment avoir de bonnes relations avec les gens car on est là pour se déchirer. Les sites prennent des lapins savants » Que penses-tu du marché du sponsoring poker actuel ?Les joueurs sponsorisés ne sont pas toujours conscient de la chance qu’ils ont. Il y a des joueurs sponsos que tu vois moins sur le circuit que des semis-pro comme moi. Sans parler langue de bois, tu prends les joueurs Barrière moi leur contrat ne me fais pas rêver. Ils ont € à l’année mais tu ne les vois que dans les casinos Barrière. On se demande même si les joueurs Barrière ont un passeport… Mais si tu veux connaître mon vrai coup de gueule, quand je vois des joueurs sponsos qui ont PokerStars derrière eux… Moi aujourd’hui si j’ai PokerStars derrière moi, je ne suis pas champion de France, je suis champion du monde ! Pour moi, quand tu fais 300 tournois par an, et qu’un joueur sponso fait un coup avec Valet Quatre ou 10-5, il y a un moment où la presse va trouver ça fabuleux. Mais un joueur qui paye son tournoi, il ne jouera jamais comme ça. Quand t’as une machine comme PokerStars derrière toi, tu sautes et tu peux aller dans un autre tournoi. Je préfère jouer bien comme il faut et faire un coup de folie de temps en temps. Par exemple, si tu fais 600 flashs par heure, et qu'un joueur joue juste une fois dans l’année le vendredi 13... C’est quand même celui qui joue 600 fois qui a le plus de chances de gagner, non ? Tu sembles faire très attention à l'actualisation de tes résultats. Est-ce dans le but de décrocher un contrat ?Ouais, on se casse la tête à faire des tournois, donc on veut que tout soit retranscrit comme il faut. C’est notre vie, la pierre qu’on apporte à l’édifice du poker. Comme je pense que 2012 va être une année charnière pour moi, j’ai envie que la fiche soit propre. C’est vrai qu’un sponsor, c’est un plus dans une carrière. S’il l’un d’eux frappe à la porte, on verra ce qu’il propose. Ça devait déjà se faire il y a trois ans avec Jean-Paul Pasqualini, qui voulait monter une équipe. Il y avait un projet qui était un peu l’ancêtre de Mypokersquad, Jean-Paul voulait lancer quelques jeunes prometteurs après sa victoire au PPT, mais il fallait certaines autorisations. Aujourd’hui, c’est difficile d’être contacté par une room car je ne joue pas beaucoup online, à part sur PokerStars. A part l’image que j’ai à leur proposer en live… Et maintenant que je ne suis plus sur Paris, il faut aller les rencontrer… Je ne te cache pas que je vais souvent sur Internet, et après Le Parisien je regarde Quand je vois des articles sur les agences de joueurs, ça me met l’eau à la bouche. Ils ont réussi à placer des des contacts ? Penses-tu être bien placé par rapport à d’autres joueurs ?Je ne sais pas faire de langue de bois, il ya des gens qui sont des imposteurs dans ce milieu. Ils savent très bien ce que je pense d’eux et ils se reconnaitront. Ils ont été là au bon moment et ils n’ont pas le niveau de certains joueurs qui doivent se payer des tournois mais qui sont dix fois plus forts. Des fois, des sites prennent ce que j’appelle des lapins savants, c'est-à-dire qu’ils vont leur dire lève l’oreille » et ils vont faire ce qu’il leur demande. Je les comprends dans un sens, c’est leur gagne-pain, mais il y a des limites, on n’est pas des joueur comme toi a-t-il recours au staking ?J’en avais déjà entendu parler par Mypokersquad. J’ai découvert qu’il y avait des bons joueurs comme Ronan Monfort. C’est déjà arrivé sur certains événements, par des gens vraiment proches. Dans la région, il y a des sportifs de haut niveau, je trouve le clin d’œil sympa en tant qu’ancien sportif d’être sponsorisé par des sportifs. J’ai Michel Pavon, l’ancien entraineur de Bordeaux qui est un ami proche de ma cousine Isabel Baltazar également joueuse semi-pro. Adrien Garrigues, il est mort »Que penses-tu de la jeune génération ?Isabel a de très grosses affaires sur Bordeaux pour garder un cadre de vie, pour ne pas être déconnectée. Parce qu’un beau jour, ce rêve va se terminer, on ne sait pas quand. Quand je vois des jeunes qu’on présente comme des stars, des très bons joueurs, mais qui n’ont jamais travaillé... Pour eux, le réveil va être très compliqué. Un petit jeune de la région, Adrien Garrigues, qui a fait beaucoup de perfs pendant trois quatre mois… Adrien avait réalisé 6 tables finales durant les six premiers mois de 2011, ndlr Aujourd’hui, je te le dis, il est mort. Il faut arriver à bien gérer. Pour faire un 500, c’est limite s’il n’est pas stacké par Jean-Jacques Mars, ça fait peur. Si tu dis ensuite au jeune d’aller récolter le raisin pour 800 € par mois, ça va faire bizarre, non ? Ces trois-quatre dernières années, j’en ai rencontré plein des cracks, que ce soit en France ou à l’étranger. J’essaie de leur dire Calmez-vous ». Enfin je ne joue pas trop le rôle de Pascal le Grand Frère non plus. S’ils veulent se brûler les ailes… Nous on est allé au la seconde partie de l'interview vendredi 25 recueillis par Maxime Arnou
➕ Feliratkozás ➕ Feliratkoz ✔ Feliratkozva ✔ Feliratkozva Megosztás J'ai récemment rencontré une charmante jeune fille qui me dit " Moi mon addiction, c'est le sucre" La réalité, c'est que je suis addict à tous. Je ne peux rien toucher. Mais ça veut pas dire que je ne peux plus manger, ça veut simplement dire que je voudrais profiter de ces vidéos pour vous expliquer à vous qui n'êtes pas en train de consommer de l'alcool, des drogues, des cigarettes, pour vous dire qu'il n'y a pas que y a aussi la bouffe. Alors ça peut être catastrophique. Moi j'en suis pas là parce que voilà, je connais, enfin tout le monde connaît quelqu'un qui connaît quelqu'un qui connaît quelqu’un qui mange et qui se fait vomir juste après et ainsi de d'arrêter de boire, je voulais partir à l'étranger et je suis parti à l'étranger mais j'ai surtout perdu du poids, parce qu'à l'époque je pesais pas loin de 90 Kg et j'ai perdu 22 kg. Et puis j'ai encore perdu un petit peu de poids. Et je me suis retrouvé à un moment à peser 66 Kg et demi, OK. Et bien, figurez-vous que le poids maximum que j'ai atteint depuis que j'ai repris tout ce poids, c'est 106,1 KG. Donc ça fait un écart de 40 est-ce qu'on arrive à ça ? Vous allez voir où je veux en venir, par un tempérament d'addict. C'est-à-dire qu'il y a eu le confinement. Alors déjà, ça a commencé un petit peu avant mais je me sentais pas bien, j'avais un peu le moral en berne et comme je peux pas boire parce que je m'interdis de boire sinon évidemment c'est la fin de ma vie. Moi je ne peux pas rechuter, c'est clair je ne peux pas prendre un verre. Je m'interdis de fumer parce que si je prends une cigarette bah je vais prendre la farde qui va avec. Je ne peux pas prendre de drogue parce que si j'achète un gramme de coke, je suis retombé dans la coke. Donc je bouffe. Et ça m'a pris il y a un peu plus d'un an et demi. Alors aujourd'hui je suis entre 106, 103 et puis je vous dis " Waouh, j'ai perdu 3 kilos, je vais à la gym" Mais en fait le problème, c'est ni la gym ni la nourriture. Mon problème c'est l' ne sais pas, je me mets vraiment à nu avec plus fort de cette addiction, la journée commençait par la pensée comme pour le verre d'alcool, comme pour la cigarette quand est-ce que je vais pouvoir aller acheter de quoi me défoncer avec de la nourriture ? Quand je dis la nourriture, moi, c'est que des grasses. Jamais je mange, je sais pas moi, des repas normaux, de la nourriture cuisinée, pas du tout du tout du tout du vais acheter un pot de glace américaine, les demi-litres, et puis je vais acheter avec ça, un sachet de je ne sais pas, 400 ou 500 g de noix. Si possible, bien grasses, bien salées. Je vais acheter avec ça un sachet, le format familial, de bonbons quand c'est pas la barquette en plastique là, vous voyez genre tupperware dans les grandes surfaces. Je vais acheter une boîte de puis je rentre à la maison et je me jette littéralement sur la glace. La glace je la mélange de temps en temps, je prends une poignée de cacahuètes voilà. Ce ne sont pas les cacahuètes, c'est plutôt les amendes. Et je me jette là-dessus et pendant que je fais ça, j'ai mal au ventre, je sais, ma tête sait qu'il y a un problème mais je lui dis je veux pas savoir et puis je continue comme ça jusqu'à ce qu'il y ait plus rien de ce que je viens d' tous les jours, c'est le même processus, c'est la même consommation et c'est une consommation qui est une consommation addict pas du tout une consommation normale, c'est je prends ces produits-là parce qu'ils me font du mal et parce que je ne vais pas bien et parce que je veux me détruire. ça c'est le subconscient, tout ça j'en suis conscient sinon je vous le dirai pas évidemment. 69 epizódok
Pour qu’une relation de travail se passe le mieux possible, l’employeur comme l’employé doivent respecter certaines obligations prévues par la loi. Attention! Si vous êtes un travailleur autonome, cet article ne s’applique pas à vous en tant qu’employé. Il peut toutefois s’appliquer à vous en tant qu’employeur si vous embauchez des employés. Ai-je des obligations envers mon employeur? Oui. Comme employé, vous avez des obligations envers votre employeur. Ces obligations existent même si vous travaillez à temps partiel; travaillez de façon occasionnelle; n’avez pas d’entente écrite avec votre employeur. Quelles sont mes principales obligations envers mon employeur ? Vous devez exécuter vous-même le travail pour lequel vous avez été engagé; exécuter votre travail avec prudence et diligence. Ainsi, tout retard chronique, absence injustifiée ou excessive peut justifier un renvoi ou des sanctions, selon les circonstances;prendre les mesures nécessaires pour ne pas vous mettre en danger ou mettre en danger la santé, la sécurité ou l’intégrité physique des autres; respecter les consignes de vos supérieurs, à moins de circonstances exceptionnelles. Par exemple, si votre supérieur vous demande de faire quelque chose de dangereux ou d’illégal vous n’êtes pas tenu d’obéir;être loyal et honnête. Que peut faire mon employeur si je ne respecte pas mes obligations envers lui ? Votre employeur peut vous imposer des mesures disciplinaires comme un avis disciplinaire écrit et une suspension; vous imposer des mesures administratives comme une lettre d’évaluation de votre rendement et une rétrogradation; vous congédier si vous faites quelque chose de très grave, par exemple, si vous volez du matériel de bureau; vous poursuivre pour obtenir une compensation financière. Par exemple, si vous démissionnez sans aviser à l’avance votre employeur ou si votre entente prévoit une date de fin et que vous démissionnez avant cette date; vous poursuivre pour que vous arrêtiez les activités qui lui causent un tort. Est-ce que la loi impose des obligations à mon employeur à mon égard? Oui. La loi impose à votre employeur plusieurs obligations, dont les principales sont vous fournir un lieu de travail et le garder accessible, ainsi que mettre à votre disposition les outils, l’équipement et les autres moyens nécessaires à l’exécution de votre emploi; vous payer le salaire convenu et les avantages ayant une valeur pécuniaire comme les vacances, le paiement des jours chômés et des autres types de congés; s’assurer que vos conditions de travail respectent votre santé, votre sécurité et votre intégrité physique et psychique; vous donner un avis écrit de fin de contrat ou de mise à pied dans certains cas ou vous verser une somme d’argent pour remplacer cet avis; vous traiter avec respect et protéger votre dignité. Il doit faire en sorte que les comportements discriminatoires à votre égard ne soient aucunement tolérés dans son entreprise. En vertu de ce principe, il est aussi tenu de vous garantir un milieu de travail exempt de tout harcèlement;prendre des mesures lorsqu’il sait ou devrait raisonnablement savoir que vous êtes exposé à la violence conjugale, familiale ou sexuelle dans le milieu de travail, et ce, que ce soit au bureau ou en télétravail. Mon employeur peut-il avoir plus d’obligations à mon égard que ce que la loi impose? Oui. Vous pouvez conclure une entente écrite avec votre employeur qui prévoit plus de droits et d’obligations que ce que la loi prévoit. Par exemple, vous pouvez prévoir que vous utiliserez votre auto dans le cadre de votre travail et que votre employeur vous paiera une allocation pour vous compenser. Votre contrat de travail peut aussi prévoir que votre employeur vous remboursera des frais de voyage ou de représentation sur présentation d’une pièce justificative. Que puis-je faire si mon employeur ne respecte pas ses obligations à mon égard? Vous pouvez en parler avec votre employeur afin qu’il corrige la situation. Dans certains cas, vous serez dans l’obligation de lui en parler avant d’entreprendre toute autre démarche. Vous pouvez déposer une plainte ou une demande auprès des organismes publics, agents ou tribunaux suivants la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail; un agent du Programme du travail d’Emploi et Développement social Canada; le Tribunal administratif du travail; la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse; la Commission canadienne des droits de la personne; le Tribunal de santé et sécurité au travail Canada;un tribunal civil comme la Cour du Québec dont la division des petites créances, devant la Cour supérieure et devant la Cour fédérale. Le choix de l’organisme public, de l’agent ou du tribunal compétent dépend de la loi en cause, de la juridiction en cause, du montant en cause et de votre statut d’employé syndiqué ou non. Si vous êtes un employé syndiqué, votre syndicat peut généralement déposer un grief en votre faveur pour une mésentente relevant de l’interprétation ou de l’application de votre convention collective; une violation par votre employeur d’un de vos droits prévus par la loi qui assure un minimum aux employés. Un arbitre de grief décide si votre grief est fondé ou non. Cependant, en matière de santé et sécurité au travail, le Tribunal administratif du travail peut aussi décider dans certains cas si le grief est fondé ou non. Si vous songez à démissionner avant ou au lieu d’exercer un de ces recours, parlez-en à un expert en droit du travail qui pourra vous informer des effets possibles d’une démission sur vos recours. De plus, il pourra vous aviser sur la façon de démissionner afin de ne pas vous exposer à une éventuelle poursuite de la part de votre employeur. Est-ce que les obligations entre employés et employeurs sont différentes dans un milieu syndiqué? Oui. En plus des obligations imposées par la loi, les employeurs et les employés ont des obligations à respecter qui découlent de la convention collective. Par le biais de la négociation d’une convention collective, un employeur et un syndicat peuvent conclure une entente portant sur les conditions de travail des employés représentés par le syndicat. Cette entente lie tous les employés actuels et futurs visés par l’accréditation.
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L'arrêt maladie avant le début des congés le report est possibleSi vous tombez malade avant votre départ en vacances et êtes toujours en arrêt de travail le jour où vous auriez dû partir en congé, vous bénéficiez, en principe, d’un report de vos congés, que l’entreprise ferme ou pas durant cette effet, votre employeur ne peut ni vous forcer à poser des jours de vacances pendant votre arrêt de travail, ni déduire de vos congés payés vos jours d’absence couverts par l’arrêt maladie. Les congés payés acquis ne sont pas perdus !Deux situations peuvent se présenter, décrypte Me Yohanna Weizmann, avocate spécialisée en droit du travail 1. Votre arrêt maladie se termine avant que la période des congés ne soit close dans l’entreprise elle se situe généralement le 31 octobre.Vous pouvez demander le report de vos congés. Votre employeur peut vous demander de prendre vos congés après votre retour d’arrêt maladie 04 décembre 1996, n° Toutefois, cela ne peut pas se faire du jour au lendemain, un délai de prévenance d’un mois entre la date de communication des dates et la prise du congé devant être respecté 08 juillet 2020 n° Votre arrêt maladie se prolonge au-delà de la clôture de la période des congés dans votre entrepriseVous bénéficiez automatiquement du report de la totalité de vos vacances, votre employeur conservant simplement le pouvoir de fixer lui-même la date de votre départ, par exemple immédiatement après la fin de votre arrêt maladie Cour de cassation, chambre sociale, 4 décembre 1996, pourvoi n° l'arrêt maladie débute pendant les congésSi vous tombez malade pendant vos congés, vous ne pouvez pas exiger le report de vos vacances à une autre date, ni leur prolongation pour rattraper les jours correspondant à votre arrêt de travail. Vous êtes tenu de reprendre votre poste à la date initialement prévue si vous êtes guéri, ou à l’issue de votre arrêt de travail dans le cas le 21 juin 2012, la CJUE affaire C-78/11 a invité la France à modifier sa position et à permettre le report des congés en cas de maladie pendant les vacances. À suivre…Pendant la durée de votre congé, votre employeur vous verse l’indemnité de congés payés calculée normalement comme si vous n’aviez pas été malade. Parallèlement, vous percevez l’indemnité journalière de la Sécurité sociale. Toutefois, lorsque l’indemnité de congés payés se cumule avec l’indemnité journalière, l’employeur est dispensé de verser l’indemnité compensatrice de perte de salaire éventuellement due en cas de doit seulement vous transmettre l’attestation de salaire nécessaire à la perception de l’indemnité journalière de Sécurité sociale. En revanche, si la maladie se prolonge au-delà du terme de vos congés, l’employeur doit verser l’indemnité compensatrice de perte de salaire pour maladie, à partir de la date d’expiration du et acquisition de congés payés des règles complexesSelon un récent arrêt de la Cour de cassation, chaque mois travaillé donne droit à 2,5 jours de congés payés. Et cette règle s’applique à la fois au salarié qui occupe son poste qu’à celui qui est en arrêt maladie à la suite d’un accident de travail. La Cour de cassation assimile les périodes d’absence pour cause de maladie professionnelle, d’accident de travail ou d’accident de trajet à du temps de travail effectif » pour déterminer le droit à congés payés. En revanche, les absences pour maladie n’ouvrent pas droit à des congés interprétation est contestée par la CJUE affaire C-282/10 du 24 janvier 2012, qui ne fait aucune distinction selon la nature de l’arrêt. Mais la France tarde à modifier la et RTTUne période d’absence liée à la maladie et conduisant, une semaine donnée, à ne pas dépasser trente-cinq heures de travail effectif ne permet pas d’acquérir des jours de RTT cette semaine-là sauf dispositions conventionnelles contraires. En revanche, lorsque des jours ont été obtenus, ils sont acquis au salarié quoi qu’il advienne. Dès lors, un salarié malade le jour où il devait consommer son repos ne perd pas ce droit, qui devra s’exercer ultérieurement.
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